*Satanism represents an effortless financial capital for its followers, they invite people to break down to die faded by vicious emancipation, "vices, sexes & drugs", a real social calamity, crime caused by the World Bank’s international leadership of the evil acquired in parallel with belligerent conflicts that generates interests for the war machine. The Zionist lobby is a multinational enterprise (without land or people) pulling the strings of the geostrategic interest that takes precedence by crime, the supremacy of its tyranny is its armed bastion to upset the cradle of the moral law of monotheism in Palestine, a human Satan masked by a smirking smile behind which Zionism hides to commit its dehumanizing sarcastic crimes.
Imperialism combined with the satanism of Zionism has fatal contradictions: such as stress on endless compound growth, the need to exploit nature to its limits and the tendency to universal alienation.
Les peuples d’Amérique Latine, du Moyen Orient, d’Afrique . . . Sont marqués par l’histoire de l’exploitation de l’homme par l’homme directement ou indirectement. Les Jougs coloniaux – Les Blocus – Les Sièges – Les Embargos – Les Ingérences – Les Interventions – Les Sanctions - Les Tyrannies de la machine de guerre, Les suprématies du ségrégationnisme et de l’expansionnisme etc.
Souffrance de beaucoup
de générations malgré les évolutions technologique, l’homme n’a pas changé
d’égard envers ses semblables l’idéologie s’est aggravé avec l’aliénation au
satanisme de «Vivre et laisser mourir» prendre des intérêts
malhonnêtement et faire mourir le reste
par la liberté à outrance, l'émancipation truffée d'insolence déshumanisante et par la domination de la machine de guerre « War is a racket ».
La domination par le monopole du capital bancaire mondial de par son mal acquis (vol, exploitation, usures à outrance, usurpation, contrefacteur et exchange illégal avec le recours de la liberté du sexe et du vice à outrance avec des exactions aux impacts environnementales . . . Et, c’est ainsi que la vie de l’homme est devenu presque totalement corrompu par le satanisme et la tyrannie financière illégitime, morose et sans débouché d’avenir pour la seule raison de s’être éloigné de la Loi Morale, la nature de l’homme est lié indéfectiblement avec sa nature sociable et sociale.
La chute de l’impérialisme international Luciférien a un capital financier dangereux de par son mal acquis investissant les déboires de la drogue pour rendre la nature humaine "Zombie", les assassinats et les crimes suivis de débâcles morales existentielle - Sa chute agonisante est un grand espoir pour la majorité des peuples opprimés socialement saints d’esprits.
La chute des dieux mortifères
du capital financier mondial inéquitable et insoucieux envers la condition humaine
ouvre la voie vers de meilleurs lendemains prospères, pleines de ressources intelligentes
pour un partage décent et digne de confiance pour la condition humaine de
demain, prévisible RENAISSANCE MONDIALE PLUS JUSTE AVEC EQUILIBRE PLUS
FRATERNEL.
*Le satanisme
représente un capital financier sans effort pour ses adeptes, ils invitent les
gens à se mettre en panne pour mourir fané par l'émancipation vicieuse, "vices, sexes & drogues", une vraie calamité sociétale, crime provoqué par le
leadership international de la banque mondiale du mal acquis en parallèle des
conflits belliqueux qui génère des intérêts pour la machine de guerre. Le lobby
du sionisme est une entreprise multinationale (sans terre ni peuple) tire les ficelles de l’intérêt géostratégique qui prime par le crime, la suprématie de sa tyrannie est son bastion armé pour
détraquer le berceau de la loi morale du monothéisme en Palestine, un Satan humain masqué par un sourire narquois derrière
lequel le sionisme se cache pour commettre ses délits sarcastiques déshumanisants. Il se détruira et se dévorera par son propre mal obscur, qui a fait souffrir de contradictions la condition humaine.
L'impérialisme allié au satanisme du sionisme a des contradictions fatales : comme le stress sur la croissance composée sans fin, la nécessité d’exploiter la nature à ses limites et la tendance à l’aliénation universelle.
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